Au milieu des scandales, la Commission européenne confie à des intérêts privés étrangers la politique antitabac de l'UE
L’annonce n’a été relayée par aucun média mainstream. Seul l’European Tobacco Harm Reduction Advocates (ETHRA), regroupement européen des associations en faveur de la réduction des risques face au tabagisme, a relevé la nouvelle . Fin janvier, l’Agence exécutive de la santé ( HaDEA ), dépendant de la Commission européenne, a officialisé un contrat de 3 millions € sur quatre ans avec un consortium d'organisations pour des services dans le domaine de la lutte antitabac. Une annonce qui soulève plusieurs problèmes d'opacité, d'orientation partisane idéologique, de manque de probité, d'éventuels conflits d'intérêts et d'abandon de souveraineté des européens sur la politique concernant la principale cause évitable de maladies dans l'Union européenne (UE). Des contractants que l’HaDEA ne déclare pas Les trois organismes cités dans l’annonce du contrat par l’HaDEA sont Open Evidence SSL, domicilié à Barcelone en Espagne, l’European Network for Smoking Prevention (